Concept de métaphysique dans l’Islam vs concept occidental de métaphysique
Posté par Termita, mise à jour le 04/03/2024 à 17:04:18
Introduction
Le pouvoir est la partie la plus unique de la rationalité. La branche gère les « principales normes » de présence, cherchant à caractériser les idées fondamentales comme étant la présence, la causalité, la substance, le temps et l'espace. Au sein du mysticisme, l’une des sous-branches fondamentales est la cosmologie, ou l’investigation de l’être.
Un examen puissant intègre la présence, les objets et leurs propriétés, l'existence, les circonstances et les résultats logiques, ainsi que la probabilité. Dans l’ensemble, Meta implique le passé et la science matérielle implique la proximité physique. Cela implique la proximité d'une idée ou d'une chose dont la présence n'est pas physiquement vérifiée. Kant s'attend à ce que les éléments envisagés par le pouvoir existent dans la psyché du spectateur, de sorte que le sujet se transforme en une sorte de réflexion et d'examen théorique.
Concept de métaphysique
La supposition de l'unité de la vérité, fondamentale parmi les logiciens arabes, permet au raisonnement mystique de donner un récit judicieux et conscient d'un domaine céleste similaire révélé par la révélation, le plaçant ainsi en rivalité avec la philosophie religieuse islamique. Le transcendantalisme pense également aux idées d'être et de connaître ; quintessence et présence. De nombreux rationalistes populaires, par exemple Aristote, Platon, Kindi, Farabi et Avicenne (ibn Sina), ont caractérisé le pouvoir et tenté de nier les spéculations les uns sur les autres. En raison de ces distinctions dans les définitions, les individus ont négligé de comprendre le véritable caractère critique du mysticisme. ,
Comme les logiciens se nient généralement les uns les autres étant donné qu'il n'y a pas d'arrangement particulier de lois en théorie contrairement à la science, il y aura sans aucun doute un « mouvement » dans les hypothèses sur le transcendantalisme quand on pense, par exemple, aux pensées. d'Aristote et d'Avicenne. La bataille pour la survie de ces savants laisse un impact séduisant sur les non-logiciens – y compris les chercheurs – pour comprendre les idées du mysticisme, provoquant une incapacité à déchiffrer la signification cachée et délicieuse du Coran tel que traduit par l'Imam Ali.
Ici, nous examinerons comment ces rationalistes ont tenté de caractériser Dieu en comparant les idées de deux logiciens essentiels, Aristote et Avicenne, et de différents penseurs qui sont d'accord avec l'un ou l'autre. Suite à cela, nous clarifierons l'idée de Dieu à travers les parties puissantes du Saint Coran et de Nahj al-Balagha.
Comme l'a indiqué Aristote, Dieu doit être la source principale ou l'étalon primaire d'un nombre considérable de substances. Aristote convient que la philosophie religieuse est un élément de pouvoir nécessaire puisque Dieu est la règle de l’être. Dans son épître Sur les buts de la métaphysique d'Aristote, Farabi clarifie le mysticisme comme une science globale impliquant des idées générales telles que l'être, la solidarité, les espèces, les accidents, etc.
Quoi qu'il en soit, Avicenne ne peut s'empêcher de contredire la pensée d'Aristote et précise que le thème du pouvoir ne peut être limité à une seule classification. En outre, il dit que la vérification de Dieu peut être trouvée par des méthodes de présence et par l'affirmation selon laquelle une présence inattendue nécessite une présence vitale. L'hypothèse de causalité d'Avicenne suggère de la concrétiser.
De plus, Avicenne échappe à l’interminable escabeau de la ligne directrice des normes en exigeant que l’être tout entier n’ait pas de règle, et que la règle soit pour ainsi dire la règle de l’être causé. Des controverses de plus en plus énormes sur le transcendantalisme d'Avicenne contre Aristote peuvent être trouvées dans les articles utiles. Avant de nous laisser submerger par les théories substantielles de ces incroyables rationalistes, ne perdons pas le centre et regardons maintenant avec quelle articulation l'Imam Ali aborde l'idée de Dieu dans son livre populaire à travers le mysticisme.
Différence entre épistémologie et axiologie
Le transcendantalisme est la partie de la logique qui réfléchit à l'univers physique et à l'idée de réalité extrême. Cela pose des questions telles que : Qu'est-ce qui est authentique ? Quel est le berceau du monde ? Qu'y a-t-il au-delà des étoiles ? Votre conception de la réalité en tant que création extérieure ou développement intérieur peut avoir un impact sur vos convictions et points de vue magiques ainsi que sur votre enseignement. Indépendamment de votre signification du monde réel, l'investigation et l'ordre de l'univers physique structurent l'établissement de quelques matières scolaires.
Épistémologie
L'épistémologie est la partie du raisonnement qui réfléchit à la manière dont les individus parviennent à réaliser ce qu'ils savent. Tiré du mot grec épistémè, qui signifie apprentissage ou compréhension, l'épistémologie fait allusion à la nature et au point de départ de l'information et de la vérité. L'épistémologie recommande qu'il existe quatre bases principales d'apprentissage : la révélation divine, l'expérience, la logique et la raison, et l'intuition.
Lorsque les bords ont scruté la prédominance d'Adam, ce sont des informations qui ont incité les points à admettre la réalité et à s'incliner devant lui comme d'habitude par Allah. "Il a conféré à l'homme des informations qu'il n'a pas fournies pour des points". Comme l'indique le Coran, le cours d'instruction primaire pour Adam a commencé peu de temps après sa création et chacun des noms a été montré à Adam. ALLAH a créé l'homme et lui a donné les moyens d'acquérir l'érudition, l'ouïe, la vue et la perspicacité.
Axiologie
L'axiologie est la partie de la rationalité qui réfléchit à l'investigation des normes et des qualités. Ces qualités sont divisées en deux sortes fondamentales : la morale et le ressenti. La morale est l'examen minutieux de l'éthique et des qualités individuelles. Le style est l’examen de ce qui est excellent, agréable ou élégant.
En axiologie, la formation est autre chose qu'une question d'information mais aussi de satisfaction personnelle. Il existe deux sources de qualités, le Coran et la Sun'nah du Saint Prophète Muhammad (SWAW), qui peuvent être prises comme référence pour l'idée de qualités. Ce qui est hors de ses références ne peut jamais être considéré comme une qualité. Les qualités peuvent être caractérisées comme « les choses qui sont essentielles ou estimées par quelqu'un ».
Ce sont plus que des mots, ce sont des traits de caractère éthiques, moraux et experts. Il y a certaines qualités essentielles dans l'Islam. Les individus et les Etats sont encouragés à acquérir ou éventuellement à considérer ces qualités essentielles. Créer l'idée de la Oumma musulmane et faire progresser les qualités islamiques et la culture islamique au motif que les qualités islamiques et la culture islamique sont bien plus répandues que dans les autres sociétés.
Concept islamique de la nature humaine vs concept occidental de la nature humaine
La principale distinction entre les perspectives occidentale et islamique est la source de l’apprentissage. Le point de vue occidental dépend de leur idée et de leurs recherches sur le sujet tandis que le point de vue islamique a élaboré son examen par rapport à la révélation divine, en particulier le Coran et la Sunna.
Concept islamique de la nature humaine
L'homme a une double nature qui est corps et âme. L'homme est un être fait de boue, qui a sa place dans l'univers de la création et qui est sujet au mouvement, au changement et à la modification, lié par l'existence. Ce qui a sa place dans l'univers de la direction, est libre et non restreint par ces deux variables restrictives. L'homme est constitué d'un corps et d'une âme. L'âme est la substance de Tran et le point central de l'être humain.
L'esprit est attaché au corps dans son inclination vers le bas et à l'âme dans sa propension vers le haut ou vers un autre monde. Le Soi ou qalb comme l’appelle al-Ghazzali, est l’incarnation de l’homme. C'est la substance d'un autre monde qui habite son corps physique et contrôle ses capacités naturelles et psychiques. Il est associé au cœur physique, c'est pourquoi on l'appelle qalb (cœur) malgré le fait que l'association est simplement surnaturelle. En fin de compte, le cœur physique est la structure tandis que le cœur d’un autre monde est la substance. Comme l'indique al-Ghazzali, l'idée du Soi est communiquée en arabe par quatre termes, à savoir qalb (cœur), ruh (âme), nafs (vouloir la nature) et aql (cerveau ou raison).
L'idée de la fitrah est liée à l'Islam. Pour les musulmans, cette idée se retrouve également dans la shahada. Comme exprimé dans le Coran, vous faites face au Deen avec sérieux, ce qui est la fitrah d'Allah sur laquelle Il a créé l'humanité. Il n’y a aucun changement dans la formation d’Allah. C'est le privilège de Deen, mais beaucoup de gens ne le savent pas. L'Imam al-Nawawi a caractérisé la fitrah comme l'état d'oubli qui existe jusqu'à ce que l'individu reconnaisse délibérément sa conviction.
Par la suite, si un enfant devait jeter un coup d’envoi avant d’avoir atteint la prudence, il serait l’un des locataires du paradis. Cela s'applique à la progéniture des tuteurs polythéistes. Tout cela fait partie du schéma divin de la création ; leurs capacités sont significatives et concluantes pour l'homme. Allah Syed Muhammad Naquib Al-Attas, La nature de l'homme et la psychologie de l'âme humaine : un bref aperçu et un cadre pour une psychologie et une épistémologie islamiques.
Concept occidental de la nature humaine
L’Occident étudie l’instinct humain sans beaucoup d’hypothèses ni de fierté. La compréhension de l'instinct humain est une question gigantesque, dont la disposition a été l'objectif de la culture humaine où son objectif approprié doit être la compréhension de l'instinct humain par chaque individu. La vision occidentale garantit que peu d’entre nous réfléchissent beaucoup à l’instinct humain que l’on peut déduire des vies déconnectées que nous vivons. Ainsi, nous nous approchons les uns des autres comme des étrangers, aux yeux du public partout comme au sein du cercle restreint de la famille.
La plupart des parents se plaignent parfois de ne pas comprendre leurs enfants, tandis que la plupart des enfants garantissent que leurs parents les jugent mal. Étant donné que tout l'état d'esprit d'un groupe de personnes envers quelqu'un d'autre est affecté par leur compréhension de cette personne, alors que cette compréhension est fondamentale dans toute relation sociale, les gens s'entendraient plus agréablement s'ils avaient un apprentissage supérieur de l'instinct humain.
Dans cet article, nous examinerons attentivement les perspectives sur l’instinct humain selon quelques écoles de contemplation occidentales. Le behaviorisme est l'école de pensée mentale qui rejette l'investigation de la substance de la cognition et se concentre plutôt sur la représentation et l'estimation de ce qui est détectable, soit légitimement, soit au moyen d'instruments d'évaluation. L’initiateur du behaviorisme était John B. Watson (1878-1958). Watson a vu que la conduite, et non la substance privée du cerveau, est le meilleur sujet possible de psychologie.
Concept islamique de la nature de la société vs concept occidental de la nature de la société
Les Occidentaux considéreront en général les ordres sociaux islamiques comme étant inversés, abusés par la religion et représentés sans cœur, les opposant à leurs propres gouvernements édifiés et à majorité commune. Quoi qu’il en soit, l’estimation de la séparation sociale entre l’Occident et l’Islam est une entreprise imprévisible, et cette distance est moindre qu’ils ne l’acceptent. L’Islam n’est pas seulement une religion, et certainement pas seulement une évolution politique fondamentaliste.
C’est un progrès et un mode de vie qui diffère d’une nation musulmane à l’autre, mais qui est animé par une âme typique incontestablement plus altruiste que la plupart des Occidentaux ne le pensent. Les Occidentaux ne comprennent pas non plus de manière fiable à quel point leurs propres ordres sociaux ont négligé de satisfaire leur folklore libéral. En outre, certaines parties de la culture islamique que les Occidentaux considèrent comme médiévales ont peut-être gagné dans leur propre mode de vie, jusqu'à récemment ; Dans l’ensemble, les ordres sociaux islamiques pourraient n’avoir qu’une vingtaine d’années de retard sur les ordres sociaux occidentaux, propulsés de manière sociale et innovante.
Enfin, l'enquête est ce qui suscite la satisfaction personnelle la plus remarquable pour le résident normal, tout en évitant les mauvais traitements les plus terribles. La voie occidentale ne donne pas toutes les réponses appropriées ; Les qualités islamiques méritent une véritable réflexion. Il existe principalement deux spéculations sur les relations entre l'homme et la société qui ont été proposées par quelques essayistes. L’une d’elles est la théorie du contrat social et l’autre est la théorie organique. L'hypothèse de la compréhension implicite implique que l'homme dans la condition de nature vivait dans l'espace public, en dehors duquel il n'aurait pas pu obtenir les pensées et les émotions qui l'ont poussé à entrer dans l'accord implicite.
La théorie organique de la société : Cette hypothèse est aussi ancienne que Platon et Aristote. Platon opposait la société ou l'État à une personne amplifiée. Il a isolé la société en trois classes : les dirigeants, les guerriers et les artisans dépendant des trois ressources de l'esprit humain, par exemple l'intelligence, l'audace et le besoin. Aristote a établi une corrélation entre la symétrie de l’État et la symétrie du corps et a fermement soutenu que l’individu est un élément caractéristique de la société.
Concept islamique de relation entre l'individu et la société vs concept occidental de relation entre l'individu et la société
Relation entre l'individu et la société dans le concept islamique
Un hadith (dicton) important du Prophète est que la religion n'est pas ce que l'on répète formellement ou cérémonieusement, mais la façon dont on s'entend avec les autres. Il ne suffit donc pas d'être pieux sans accomplir des actes qui montrent ses convictions. On raconte que le Prophète entra un jour dans une mosquée et vit, lors d'une supplication, une personne âgée vénérée avec de longues moustaches blanches. Il a été informé que l'homme était dans la mosquée toute la journée, vénérant et partageant les expressions d'Allah avec d'autres personnes. Le Prophète lui demanda alors comment il gagnait sa vie et fut informé qu'un marchand, peu connu pour son dévouement, le soutenait. Le Prophète a commenté que des deux, le marchand était certainement le plus louable.
Chaque musulman est le bénéficiaire, le gardien et l'agent de la volonté de Dieu sur terre ; ses fonctions sont vastes. L'obligation d'un musulman d'agir en fonction de ce qui est correct est tout autant une partie de sa confiance, tout comme son obligation de restreindre les choses hors de la base. Le Prophète a déclaré un jour : « Dans le cas où quelqu'un parmi vous voit un mal, il doit le redresser de sa main s'il le peut (acte, direction, activité).
Dans le cas où il ne le peut pas, alors par sa langue (parler, contredire verbalement) ; s'il ne le peut pas, alors à cause de son regard (expression tranquille d'objection) ; et s'il ne le peut pas, à ce stade de son cœur. Cette dernière est l'expression de base de sa conviction (confiance, courage). « Vivre la confiance est ibada, l'administration envers Dieu à travers l'administration envers l'humanité. En aucune manière, vous n’accomplirez une nature exemplaire, sauf si vous donnez (sans réserve) de ce que vous aimez ; et quoi que vous donniez, Dieu le connaît bien.
La conservation d’une demande sociale repose sur le fait que chaque individu de cette société adhère sans réserve aux bonnes normes et pratiques similaires. L’Islam, fondé sur des qualités et des devoirs profonds individuels et collectifs, a présenté une insurrection sociale dans le contexte où elle a été découverte pour la première fois. La qualité éthique globale est communiquée dans le Coran en termes d'équilibre, d'équité, de décence, de camaraderie, de clémence, d'empathie, de solidarité et de possibilité de décision. Les pionniers sont responsables de l'utilisation de ces normes et sont responsables envers Dieu et l'homme de leur organisation. On raconte qu'un homme se rendit chez Umar, le deuxième calife, pour converser avec lui. C'était le soir et une lumière consumait autour de la zone de travail d'Umar. Umar a demandé si ce qu'il devait examiner se trouvait près de chez lui.
L'homme a dit que c'était le cas, et Umar a étouffé la flamme afin de ne pas consommer les actifs ouverts pour une raison privée. Les pionniers de l’Islam, qu’ils soient chefs d’État, chefs de famille ou d’entreprises privées, ont un poids ou une obligation plus élevé que les autres. Il existe dans l’Islam un lien entre le devoir individuel et les droits et avantages tirés de l’inscription au réseau. La société n’existe pas de manière autonome sans personne.
Relation entre l'individu et la société dans le concept occidental
L’idée occidentale de l’indépendance en tant que cadre philosophique social suspecté a influencé et continue d’affecter la personne dans la culture ghanéenne d’aujourd’hui. L'ouvrage s'intéresse à l'effet de cette idée de la personne dans son grand public dans la mesure où il s'agit de la vie sociale, politique, monétaire, religieuse. La « personne », telle qu'elle est imaginée ici, est caractérisée par le sens du nouveau lexique d'Oxford, faisant allusion à « l'individu unique, caractéristique d'un rassemblement, d'une classe ou d'une famille ». Ce travail amène à penser le bien-être de la personne, aujourd’hui ignoré au Ghana. L'œuvre commence par une amélioration rationaliste de l'idée de la personne depuis les dernières reliques jusqu'à la période postérieure aux Lumières.
La motivation derrière cette partie est de voir la logique derrière la personne comme l’objet le plus significatif de la nature. Il s'agit de l'indépendance en tant qu'idée philosophique et de la manière dont la vie sociale, politique, monétaire et religieuse de la personne est influencée. Une attention particulière est également accordée au Ghana pour voir l'idée de l'individu et sa relation avec la vie familiale, la société, l'épanouissement financier, le surnaturel, la qualité éthique et la post-existence. L'expérience du Ghana avec l'Occident et l'effet de cette expérience sur l'individu et son grand public sont également évoqués. Enfin, il y a un aperçu de la situation telle qu'elle est aujourd'hui et des écoles de pensée ou camps qui existent et des pensées qui sont proposées pour offrir une incitation à la personne en tant que résident du Ghana.
L'individu vit et agit au sein de la société, mais la société n'est rien, malgré le mélange de personnes pour un effort utile. Une idée similaire à celle donnée par Platon et Aristote.
Concepts islamiques de l'univers vs concept occidental de l'univers
Chaque principe et chaque rationalité de la vie sont essentiellement fondés sur une sorte de conviction, une évaluation de la vie et une sorte de traduction et d’examen du monde. La perspective d’une école à l’égard de la vie et du monde est considérée comme la prémisse de tout le raisonnement de cette école. Cette prémisse est connue comme l’origine mondiale de cette école. Toutes les religions, cadres sociaux, écoles de pensée et méthodes sociales de compréhension dépendent d’une origine mondiale spécifique. Chacun des objectifs qu'une école expose, les moyens et techniques qu'elle concrétise sont les résultats de la création du monde dans lequel elle s'engage.
Les penseurs affirment qu’il existe deux sortes d’astuces : pratiques et hypothétiques. L’astuce hypothétique consiste à connaître les choses actuelles telles qu’elles semblent être. L'astuce pragmatique consiste à découvrir comment chacun doit mener sa vie. Ce « devrait » est la conséquence intelligente de « comment ils sont », en particulier de ces « comment ils sont », avec lesquels la rationalité mystique négocie. Bien que l'origine philosophique du monde ne soit pas aussi définie et explicite que l'origine logique, elle dépend de diverses normes qui sont clairement évidentes et certaines par la psyché.
Ces normes se poursuivent intelligemment et sont générales et complètes. À ce titre, ils ont l’avantage d’être fermes et cohérents. L'origine philosophique du monde est exempte de ces irrégularités et des obstacles que l'on trouve dans l'origine logique. L’origine philosophique du monde répond à toutes les questions dont dépendent les systèmes de croyance. Il distingue la forme générale et les points forts du monde.
Les origines logiques et philosophiques sont un prélude à l’activité, mais de deux manières uniques. L'origine logique est un prélude à l'activité puisqu'elle permet à l'homme de contrôler la nature et d'y présenter des changements. L'homme, grâce aux méthodes scientifiques, peut utiliser la nature pour accroître son bénéfice potentiel comme il le souhaite.
L'origine philosophique est un prélude à l'activité car elle décide du choix de l'homme quant à son style de vie. Cela influence sa réponse à son expérience avec le monde. Cela fixe son état d'esprit et lui donne un point de vue précis sur le monde et la création. Soit elle donne un parfait à l'homme, soit elle lui enlève un parfait. Soit cela donne un sens à sa vie, soit cela l'attire vers la bêtise et le néant. C'est la raison pour laquelle nous affirmons que la science ne peut pas donner à l'homme une origine du monde qui pourrait se transformer en prémisse d'un système de croyance, mais en logique.
Dans le cas où nous respectons chaque écoulement d'une perspective générale sur le monde et la création comme une origine philosophique, sans nous demander si la source de cette origine est une supposition ou une pensée ou une révélation du monde obscur, les origines religieuses et philosophiques ont un endroit avec une superficie similaire. Cependant, si l’on considère leur source, les origines philosophiques et religieuses du monde sont sans aucun doute deux choses uniques.
Dans des religions spécifiques comme l'Islam, origine religieuse du monde, a pris une teinte philosophique ou pugnace et constitue un élément fondamental de la religion elle-même. Les questions soulevées par la religion dépendent de la réflexion et de la confirmation. L’origine islamique du monde est donc raisonnable et philosophique.
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