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Banque de sujets de pédagogie générale et de culture générale Burkina Faso

Posté par Jerome, mise à jour le 21/10/2023 à 15:24:13

1) « Aujourd’hui nous recevons trois formes d’éducation différentes ou contraires : celle de nos maitres et celle du monde. Ce qu’on nous dit dans la dernière reverse les idées de la première. » Montesquieu.
Commentez ces propos et dites comment on peut concilier ces trois formes d’éducation pour une formation intégrale de l’individu. Comment l’école peut jouer prépondérant à l’égard des deux autres

2) Le défi de l’école n’est pas dans l’ingénierie pédagogique ou didactique, mais à faire face aux centaines de comportements anomique, à pacifier la horde des barbares à extirper la violence du champ éducatif à partir de l’esquisse d’une société de droite. Philippe Mérieux. Qu’en pensez-vous.

3) Léon Tolstoï affirme : « La différence entre l’éducation et la culture n’est que dans la violence que l’éducation admet comme droit ? L’éducation, c’est la culture par la force ; la culture, c’est la liberté. » expliquez et discutez ces propos.

4) « La pédagogie moderne devrait, plus qu’elle ne le fait, combiner deux principes : l’un, qui est la pédagogie traditionnelle de montage impeccable des automatismes, le principe, de l’intérêt de l’enfant. »
Commenter et tirez-en les applications pédagogiques.

5) « Ne fait pas de nos élèves les hommes que nous avons été mais bien, ceux que réclamera une époque marquée par la plus grand angoissante accélération de l’histoire ». Quelle réflexion vous suggère cette déclaration d’un auteur contemporain ?

6) En se prononçant sur la méthode montessorienne en 1940, Angela Medici affirmait « qu’il s’agit d’une construction analytique de l’esprit qui part des sensations pour aboutir aux idées ». En vous basant sur vos connaissances en psychologie de l’enfant, ainsi que votre expérience d’éducateur, expliquez, exemple à l’appui, cette réflexion. Dégager son implication quant à l’éducation intégrale de l’enfant.


7) « Donner à l’enfant la possibilité de trouver lui-même entraine qu’on lui permette de se tromper. Le droit à l’erreur est fondamental. » qu’en pensez _vous ?

8) « L’inadéquation du système éducation avec le système socio-économique dans le contexte burkinabé risque semble-t-il de compromettre le développement ce pays. » Etes-vous de cet avis ? comment concevez-vous la transformation du système d’éducatif aux coure moyen et long terme afin qu’il propulse le développement ?

9) Pourquoi dit-on que la pédagogie est l’opérationnalisation de la politique éducative !

10) « L’école dit-on est le moteur du développement »
A votre avis, cette affirmation se vérifie-t-elle dans le cas actuel de notre pays ? Sinon, comment notre école doit-être conçue et organisée pour être le facteur d’un réel développement ?

11) « Toute tentative de socialisation de l’individu est une sorte de domestication de l’individu.
Certaines personnes dans cet Esprit, comme un ensemble de contraintes qui empêche l’individu de s’épanouir… ».
Pensez-vous que notre existence quotidienne nous donne la possibilité d’établir le juste rapport entre l’existence de vivre en communauté en se soumettant à un minimum de règles et la possibilité d’expression de notre personnalité ?
Comment concilier la nécessité sociale d’une discipline et l’exigence individuelle de « liberté ?

12) « Tout progrès pédagogique passe par une période transitoire » ou ‘’l’ancien’’ et le ‘’moderne’’ s’harmonisent rarement.
Il s’agit pourtant d’épouser une querelle ancestrale, de rejeter des valeurs passées et de se précipiter inconsidérément sur les données nouvelles, mais plutôt, puisque le mot est à la mode, de participer à l’évolution en cours ».
Commentez cette assertion et dites quelle est votre attitude devant ces « données nouvelles » de la pédagogie.

13) Dans notre monde en transformation « il existe un consensus dans le monde de l’éducation sur le fait que l’éducation à la citoyenneté est le meilleur moyen de gérer les paradoxes du pluralisme socioculturel et plus particulièrement, la question de l’intégration de la diversité culturelle dans le monde de l’éducation ». (Arellano, 2001, p. 55) Expliquez l’opinion de l’auteur.

14) Dans un contexte éducatif burkinabé de plus en plus multiethnique et multiculturel, dites comment les enseignants dans leur travail de tous les jours peuvent poser les bases de cette éducation à la citoyenneté.

15) « C’est dans le problème de l’éducation que gît le grand secret de perfectionnement de l’humanité. »
Expliquez et commenter cette réflexion d’Emmanuel Kant.

16) « L’un des écueils à éviter tout un long de la scolarité primaire, c’est d’aller trop vite. Mais à l’opposé, il existe un autre non moins dangereux que le premier ; c’est de ne pas avancer ». Après avoir expliqué ce propos, dites quelles implications pédagogiques vous pouvez en tirer ?

17) « le plan d’amélioration, une révolution sanitaire ».
Commentez. Comment vous-y prenez-vous pour élaborer et mettre en œuvre un plan d’amélioration individuel

18) Selon Stolovitch et la Roque : « La technologie de l’instruction propose d’étudier comment organiser l’environnement pédagogique, comment disposer méthode et moyens éducatifs ou instructifs, comment ordonner les connaissances ; en somme, selon quel désigne disposer l’instruction afin que le sujet puisse assimiler les connaissances nouvelles avec la plus grande effectivité possible. La technologie de l’instruction est centrée sur la conception, ou sur la conception systématique de l’instruction ».
Commentez cette définition de la technologie de l’instruction et dites dans quelle mesure théorie peut –elle s’appliquer au contexte Burkinabé.

19) « En retirant à l’enfant la possibilité d’utiliser son parler familier pour lui fournir un instrument de communication encore totalement inexploitable en début de scolarité, l’école le met dans l’impossibilité matérielle d’extérioriser ses sentiments et ses intérêt ». Qu’en pensez-vous ? Quels enseignements peut-on en tirer pour l’école burkinabé ?

20) « L’éducation est la première clé qui ouvre la porte de notre liberté, et partant, de tout développement ».Expliquez et commentez.

21) « Le but de l’éducation est de permettre à chaque individu de ne jamais cesser son éducation ». Olivier. Commentez ces propos et tirez en les implications pédagogiques.

22) « La contrainte rigide et brutale ne prépare pas à la vie réelle qui attache un si grand prix à l’éducation du laisser-aller est bien Plus l’élément d’énergie auquel l’individu doit faire appel et se soumettre ». Explique cette affirmation et dégager les conséquences pour l’action quotidienne de l’instituteur.

23) « Entre l’inflation démographique et la déflation économique, l’école africaine est piégée. Certains enjoignent l’Etat de se démettre, de se laver les comme ponce par un dépôt de bilan clandestin et en transférant les charger de l’éducation sur les intéressées. D’autres, voyant le fond du problème dans le contenu structurel du system, réclament des réformes plus radicales ».
Analyser avec soin ces propos du professeur joseph KI ZERBO et dites quelles sont les voies les meilleures pour l’élaboration et la mise en œuvre d’une reforme conséquente de l’éducation dans nôtres pays.

24) « On ne corrige pas une copie, on l’annote ; ce qui est bien différent. Ce qu’il faut corrige, c’est l’enfant, ce qu’il faut atteindre ce n’est pas la copie, ce sont les causes mentales des fautes » a écrit M. Payot
A partir d’une discipline de votre choix enseigné à l’école primaire, montre le rôle de l’annotation et de la correction.

25) « Par l’école, l’enfant prend son temps avant d’affronter la lutte pour la vie. Eduquer c’est donc en un certain sens, attendre, reculer les problèmes réels ». Commentez.

26) « Eduquer, c’est adapter l’enfant au milieu social adulte, c’est-à-dire transformer la constitution psychologique de l’individu en fonction de l’ensemble des réalités collectives auxquelles la conscience commune attribue une valeur ». René Hubert. Expliquez et commentez.

27) « C’est dans la mesure que l’enfant aura conçu un projet qui l’intéresse qu’il aura l’énergie nécessaire d’acquérir les connaissances nécessaires et de réaliser les actions indispensables à sa réalisation ». John Dewey.
Commentez et tirez-en les implications pédagogiques.

28) Alain affirme qu’« aucune éducation ne transforme fondamentalement un être, elle l’éveille ». Qu’en pensez-vous ?

29) Hélène Trocmé Fabre soutient qu’« un élève qui ne réussit pas a appris à ne pas apprendre ». Commentez et tirez-en les implications pédagogiques.

30) « L’éducation est une dette sociale. De ce fait, la génération présente doit payer pour que les générations de demain connaissent une vie meilleure ». Expliquez et commentez.

31) Viviane Delandsheere vous interroge : « Pourquoi beaucoup de ceux qui adhèrent aux idéaux de l’éducation nouvelle n’en imprègnent pas leur pratique quotidienne » ?

32) « L’école ne doit pas être une machine à fabriquer des modèles réduits du maître car l’adulte, épanoui et libre, ne peut résulter de la maturation d’une personnalité enfantine mutilée ». Qu’en pensez-vous ?

33) Claparède a écrit « Que l’éducation nouvelle demande que les enfants fassent tout ce qu’ils veulent. Elle réclame surtout qu’ils veuillent tout ce qu’ils font, qu’ils agissent et non qu’ils soient agis ».
Commentez et tirez-en les applications pédagogiques.

34) Bowers a pu écrire : … « Une masse énorme d’adultes illustrés en grande partie privés de l’accès à l’éducation et à la formation …représente pour tout pays en voie de développement, un sérieux handicap pour le progrès économique et social. Combien d’hommes d’affaires de fonctionnaires, d’avocats, de savants, de ministres potentiels doivent gratter la terre de leur houe, … Simplement parce qu’ils n’ont jamais eu accès à l’éducation » Expliquez et commentez.

35) Dans son ouvrage écoles et démocratie John Dewey déclare : « dans une démocratie les enfants des écoles doivent jouir de la liberté afin que le jour où ils contrôleront le pays, ils sachent faire usage de cette liberté ; il faut développer en eux des qualités actives d’initiatives, d’indépendances, d’intégrité si nous voulons voir disparaitre les abus et les erreurs de la démocratie ». Commentez et tirez-en les implications pédagogiques.

36) « L’éducation est le logiciel de l’ordinateur centrale qui programme l’avenir des sociétés » J KI ZERBO. Expliquez et commentez.

37) Rousseau affirme : « celui entre nous qui sait le mieux supporter les biens et les maux de cette vie est à mon gré le mieux élevé, d’où il suit que la véritable éducation consiste moins préceptes qu’en exercices ». Expliquez et commentez

38) Selon Lucien Adjadji : « l’éducation doit nous permettre de lire nous-même, de lire dans les autre et lire dans le monde ». Expliquez et commentez.

39) « On ne peut rien apprendre à l’homme. On ne peut que l’aidée découvrir ce qu’il recel ». Commentez et tirez-en les simplifications pédagogiques.

40) En vous inspirant de votre expérience personnelle, quels sont d’après-vous, les obstacles, aux développements de l’alphabétisation dans notre pays ?

41) « La société transforme l’individu en structure même parce qu’elle ne le contraint pas seulement à reconnaitre des faits, mais elle lui fournit un système tout construit, des signes qui modifient sa pensée ; elle lui impose des valeurs nouvelles et lui impose une suite infinie d’obligation ».
Jean Piaget. Expliquez et commentez.

42) « L’école a pour fonction de rendre rationnelle la hiérarchie sociale. L’école est nocive parce qu’elle s’isole de son environnement à un lieu institutionnalisé. Déscolariser la société, c’est surtout rapprocher l’éducation de la vie ». Ivan D. Illich dans « une société sans école ». Discutez ces propos.

43) « En retirant à l’enfant la possibilité d’utiliser son parler familier pour lui fournir un instrument de communication encore totalement inexploitable en début de scolarité, l’école le met dans l’impossibilité matérielle d’extérioriser ses sentiments et ses intérêts ».
Qu’en pensez-vous ? Quels-enseignement peut-on en tirer pour l’école burkinabé ?

44) « L’éducation n’est en somme que l’art de révéler à l’être humain le sens intime qui doit gouverner ses actes et préparer l’emploi de ses énergies et lui communique le goût et la force de vivre pleinement ». Commentez

45) « Le grand secret de l’éducation, c’est de ne pas éduquer. »
Partagez-vous ce point de vue exprimé par Ellen Key ?

46) « L’instruction est à mes yeux, la moindre partie de l’éducation. Elle ne doit être placé qu’au second rang ; comme un moyen d’acquérir de grandes facultés. » Partagez-vous ce point de vue exprimé par John Locke?

47) « Ni la bonne éducation ne fait le bon caractère, ni la mauvaise ne le détruit. » Qu’en pensez-vous ?

48) « Qu’on destine mon élève à l’épée, à l’église, au barreau, peu m’importe. Avant la vocation des parents, la nature l’appelle à la vie humaine. Vivre est le métier auquel je lui veux apprendre. En sortant de mes mains, il sera, j’en suis sûr, ni prêtre, ni magistrat, ni soldat. Il sera premièrement homme. » Jean Jacques Rousseau. Commentez et tirez-en les implications pédagogiques.

49) Quel doit être la contribution de l’école à la promotion du genre et à la réduction des inégalités sociales ?

50) « Un apprentissage basé sur la démarche de résolution de situations problèmes se fondant sur la liaison entre l’école et la vie afin de donner du sens aux apprentissage scolaires. Telle est la nouvelle vision du rôle de l’école. » Commentez et tirez-en les implications pédagogique.

51) M.A Touyarat écrit : « notre principal souci est de rentre possible l’élaboration par les enfants eux-mêmes de leurs savoirs ; ce qui exige de choisir avec soin et de suivre avec attention les expériences qui en seront les sources concrètes, variées et répétées ». Commentez et tirez-en les-implication.

52) Louis Not écrit : « les déterminants de l’acquisition des connaissances ne sont ni dans l’objet seul (savoir), ni dans le sujet (élève), ni liés à la prédominance de l’un ou de l’autre, mais dans une interaction du sujet et de l’objet ». Expliquez et commentez.

53) « L’éducation est l’impératif inscrit dans la nature intrinsèque de l’être humain. Au plan individuel d’abord, l’être humain dit-on, ne naît pas tout. Ce n’est pas un produit fini à la naissance. Il n’est pas achevé. Il faut donc l’accomplir, le parachever selon un modèle, un programme, un logiciel sociétal défini ou à définir.
Mais n’oublions pas également que l’éducation est tributaire des tendances du milieu social. Ainsi nous aurions beau nous plaindre de notre système d’éducation, nous le méritons car nous sommes les acteurs à quelque degré que ce soit ». Professeur Joseph Ki Zerbo. Qu’en pensez-vous ?

54) « Lors d’un débat sur le système éducatif burkinabé, un interlocuteur s’exclame : » quel anachronisme que de conserver une école insulaire mais surtout virus au 21é siécle ? » que peut-il insinuer ?

55) La maxime « on ne commande à la nature qu’en luis obéissant » s’applique-t-elle à la nature humaine ? Quelles peuvent en être les implications pédagogiques.

56) Expliquez et commentez cette définition que Carl Roger donne de l’apprentissage : « Apprendre c’est abandonner ses dépendances à l’égard d’un maître, c’est renoncer à la sécurité d’un savoir pré digéré, et s’exposer directement à la vie ».

57) « L’enfant qui lit ne pense : il ne fait que lire, il ne s’instruit pas ; il apprend des mots ». Alain. Qu’en pensez-vous ?

58) « Donnez à la l’enfant la possibilité de tourner lui-même entraine qu’on lui permettre de se tromper. Le droit à l’erreur est fondamental. »
Partagez-vous ce point de vue ?

59) « L’analphabétisme est l’un des problèmes les graves de notre époque. Il étroitement lié au sous-développement et à la pauvreté son élimination es une condition essentielle du développement et du bien-être des peules et des nations ». 4éme Conférence international sur l’éducation des adultes à Paris du 19 au 25 mars 1985 commentez et appréciez

60) « Il arrive que les médecins baissent les bras et se bornent à accompagner une maladie inguérissable. Toutefois avant d’en arriver là, ils ont en générale tout essayé. On peut en dire autant d l’école, dont l’organisions même empêche de tout tenter. »
Expliquez et commenter ses propos de Philippe Perrenoud et tirez-en les implications pédagogiques.

61) Roger Coussinet écrit dans l’Education nouvelle : « L’éducation est l’œuvre de l’enfant ; il n’a ni à être éduqué ; ni même à s’éduquer ; il n’a pas autre chose à faire qu’à vivre ». Partager vous cette conception de l’éducation ?

62) A propos de l’éducation, Brandy Anderson, un auteur contemporain déclare : « en tant qu’éducateur et spécialistes du développement, notre but devrait être d’enseigner non seulement aux filles à lire à propos de nouveaux mondes, mais également à pouvoir regarder leur propre monde avec des yeux nouveaux » Expliquez et commentez.

63) « Le chef d’œuvre d’une bonne éducation est de faire un homme raisonnable et l’on prétend élever un enfant par la raison. C’est commencer par la fin, c’est vouloir faire l’instrument de l’œuvre ». Jean Jacques Rousseau.
Expliquez cette idée et donnez en les corollaires pédagogiques.

64) « L’éducatif actuel des sociétés africaines n’est pas seulement en retard sur celui des pays industrialisés ; il est surtout en contraction avec les besoins vitaux, alimentaires et élémentaires desdites sociétés ». Joseph KI-Zerbo
Qu’en pensez-vous ?

65) « L’homme dont le cœur est de glace, quelque qualité qu’il possède par ailleurs, fera difficilement un bon éducation ». René Hubert.
Qu’en pensez-vous ?

66) L’éducation est un bon projet qui serait parfait pour l’avancée des fins spécifiquement humaines dans l’histoire, si elle n’était pas elle-même tributaire de maître imparfait ». Emmanuel Kant.
Commenter cette réflexion et tirez en les implications pédagogiques.

67) « L’éducation de l’intelligence n’a pas pour objet la possession du savoir, mais la maîtrise des méthodes qui permettent la conquête du savoir. Ainsi, le meilleur fruit de l’enseignement n’est pas tant le savoir acquis que l’aptitude à en acquérir davantage ».
Commentez cette réflexion et tirez en les implications pédagogiques.

68) « Dans des sociétés en cris ou l’urgence criante et permanente frappe tous les domaines de la vie, les choix à faire sont à la fois immédiats et radicaux. Eduquer ou périr, c’est ainsi que se pose l’interrogation de l’avenir ». Professeur Joseph KI ZERBO in Eduquer ou périr. Expliquez et commentez

69) « Il est dommage qu’en ce début du 21eme siècle encore, l’école Burkina soit un paradoxe pour la culture et le développement de ce pays ». Que pensez-vous de cette réflexion ?

70) « La pédagogie est le champ de la transformation de l’informatique en savoir par la médiation de l’enseignement, par la communion, par l’action interactive dans une situation éducation donnée. » Appréciez cette réflexion de Margaret Altet. Tirez-en des conséquences pour l’école burkinabé.

71) Un pédagogue africain affirme : « L’éducation pour tous ce n’est pas l’école pour tous. Ce n’est pas mon plus un paquet de recettes éprouvées qu’on fait enregistrer par chacun et par tous, comme ces réflexes conditionnés et presque pavloviens par les vulgarisateurs aux paysans engagés dans les filières des cultures de rente ». Expliquez cette pensée et définissez le concept de l’éducation pour tous dans le contexte burkinabé.

72) Expliquez et appréciez ce passage d’Adolphe Ferrière : « l’école d’hier mettait le savoir au premier plan et négligeait le pouvoir ; l’école de demain met au premier plan le pouvoir et considère que le savoir doit servir à augmenter le pouvoir. Le but de l’école nouvelle n’est plus l’acquisition des connaissances inscrites sur le programme mais la conservation et l’accroissement de la puissance de l’esprit de l’enfant »

73) « Comprimer, dompter n’est ni instruire ni armer. C’est souvent rendre l’enfant incapable de se diriger dans la vie ». Qu’en pensez-vous ?

74) A propos de l’enfant qui ne réussit pas dans ces études, Montaigne écrit : « je n’y trouve aucun remède, sinon qu’on le mette à pâtisser en quelque ville »
De son côté, Alain déclare : « ceux qui s’accrochent partout et se trompent sur tout, ceux qui sont sujets à perdre courage et à désespérer de leur esprit, c’est ceux-là qu’il faut aider »
Quelle est votre position personnelle sur ce problème ?

75) Selon Angelo Patri, « l’école finit à la porte donne sur la rue. La famille s’arrête à la porte de la maison. La rue est, dans l’éducation, le troisième facteur et nous ne savons rien de la rue »
Soulignez la part respective de chacun de ces facteurs dans l’éducation de la jeunesse et montrez.

76) Ivan Illich, dans son ouvrage : une société sans école écrit : « …Apprendre est de toutes les activités humaines, celle qui requiert le moins d’intervention d’autrui […] ; nous ne tenons pas notre savoir de l’instruction imposée ». Expliquez et discutez.

77) « La vie est pourvoyeuse des choses captivantes. A moins de mettre la vie à la porte, le maître doit savoir s’accommoder à des leçons occasionnelles fréquentes. » Adolphe Ferrière. Qu’en pensez-vous ?

78) « Aucun être ne doit et ni peut être écrasé par son passé et la psychopédagogie contemporaine se fonde quotidiennement sur cette vérité » dit un pédagogue ». Après avoir expliquez cette affirmation, vous indiquerez aux maîtres les voies et les moyens susceptibles d’aider l’élève à se dégager et à se servir de son héritage génétique, familial et culturel.

79) « La méthode de l’école primaire doit être intuitive, inductive et active. L’enseignement primaire a l’ambition d’être utilitaire et éducatif. » Expliquez cette ligne extraite des instructions officielles et tirez-en des corollaires pédagogiques.

80) « L’éducation est un processus complexe, multidimensionnelle et à long terme par lequel on aide un individu ou une collectivité à accéder au maximum d’autonomie, c’est-à-dire la liberté responsable et au développement optimum de toutes ses ressources » Expliquez et commentez.

81) « Assurer l’éducation pour tous, c’est-à-dire faire de la révolution de l’éducation une réalité mondiale, est l’investissement le plus sûr dans un avenir paisible et prospère, le meilleur que nous puissions faire pour nos enfants ». Commentez.

82) « Apprendre à apprendre et apprendre à comprendre, et le but de toute formation. Elle doit aboutir à donner aux hommes le moyen d’évoluer naturellement dans le monde ou ils vivent et de ne pas étouffer d’angoisse devant le monde qui vient. » Expliquez et commentez cette conception de l’éducation.

83) « La servitude du métier d’instituteur et sa grandeur c’est justement de réclamer à l’homme un constant perfectionnement, une étude permanente. A ce prix, on reste digne d’enseigner. Un manœuvre n’z plus rien à apprendre au aux bout d’un an. Après vingt ans d’enseignement, un instituteur est toujours un étudiant ». Commentez ces propos et tirez-en des implications pédagogiques

84) Un pédagogue contemporaine a dit ; « Il n’y a pas de pédagogie qui tienne. La première de toutes les règles, c’est que l’on enseigne bien aux autres ce que l’on sait parfaitement soi-même ». Qu’en pensez-vous ?

85) Discutez cette réflexion de Philippe Meirieu : « L’école doit être particulièrement ambitieuse en ce qui concerne la transmission la plus large des connaissances scientifiques mais ne doit être entachée d’aucune ambition éducative : vouloir éduquer serait, en effet, pour la république, empiéter sur le droits légitimes des parents et, sur tout risquer de basculer dans l’endoctrinement du peuple dont l’histoire montre tant de fâcheux exemples ». In la pédagogue est entre le dire de faire « P.41, éducation : ZSF IEPD 2015

86) « Plus un homme a d’habitudes, moins il est libre et indépendant. Appréciez ce jugement de Kant, dites si on peut en tirer des applications pédagogiques.

87) « L’école n’est faite ni pour la production, ni pour la cohésion sociale, mais aider à l’épanouissement de l’individu ». Qu’en pensez-vous ?

88) Que pensez-vous de cette affirmation d’Emmanuel Kant : « Ce n’est pas en fonction de l’état actuel, mais en fonction d’un état futur, le meilleur possible de l’espèce humaine, que l’on doit éduquer. »

89) Expliquez et commentez cette opinion de Jean Jaurès : « On n’enseigne pas ce que l’on veut, je dirais même qu’on n’enseigne pas ce que l’on croit savoir ; on n’enseigne, et on ne peut enseigner que ce l’on est. »

90) A propos de la finalité de l’éducation, un professeur écrit : « Un second objectif de l’acte pédagogique, plus ou moins toujours présent, explicitement ou implicitement, dans beaucoup d’actes pédagogiques est la transformation des structures psychologiques existantes ou l’aide à apporter à des structures existantes. »
Développez cette opinion et dites quelle conclusion en tirez.

91) « A l’heure actuelle, nous sommes parvenus au stade où il faut enseigner aux gens ce que personne ne savait hier, et préparer dans nos classes ce que personne ne connait encore mais que certain devraient savoir demain ». Comment et tirez-en les implications.

92) « Beaucoup se demandent si la gratuité et obligation scolaire ne vont pas faire disparaitre les exigences de la qualité de l’éducation ».
Qu’en pensez-vous ?

93) Peut-on soutenir que l’école burkinabé fonctionne selon une logique démocratique illusoire ?

94) « Le but de l’éducation est de permettre à chaque individu de ne jamais cesser son éducation. » Expliquez et commentez cette réflexion.

95) « L’évaluation formative parce qu’elle est intégrée au processus d’apprentissage, consacre à l’élève le droit à l’erreur, lui permettant de se réajuster et favoriser de fait de réussite. » Qu’en pensez-vous ?

96) « Le problème de l’égalité des chances ne se pose pas en termes de handicaps dus à la naissance que l’école aurait à compenser, mais en termes de distance entre les démunis et les plus favorisés. » commentez et discutez cette opinion de Bernstein.

97) Commentez et discutez cette opinion de Jean Guéhenno.
« Je ne crois guère que la pédagogie puisse être une science. Tout ce qu’il y a en elle de solide tient en quelques principes de bon sens bientôt reconnus… la part du don, de la vocation, est la plus importante… La pédagogie est bien plus un art qu’une science ».

98) « La compétence n’est pas elle-même porteuse d’une vision particulaire de l’apprentissage. Il ne suffit pas d’introduire les compétences dans les programmes d’étude pour que les enseignants modifient leur représentation des savoirs et des apprentissages. »
Commentez et appréciez cette pensée en partant du contexte burkinabé.

99) Certains disent : « Une éducation dans la contrainte est vouée à l’échec. » A quoi d’autres rétorquent : « Une éducation sans une certaine contrainte est fatale à la formation de la volonté de l’enfant. »
Quelle est votre opinion ?

100) Aldou Huxley assigne pour but à l’éducation d’élève des jeunes êtres humains en vue de la liberté, de la justice et de la paix. Système de valeur qui, dans une perspective aussi nettement anti sociologiques que possible, n’appartient pleinement qu’à l’homme sans attaches. Commentez et tirez-en les implications pédagogiques.

101) « Eduquer c’est convertir l’animal en en homme ; et être homme, c’est être le législateur de ces actions dans le règne de la raison ». Expliquer et commentez cette réflexion.

102) « D’embrasser sur les diverses matières auxquelles elle touche tout ce qui est possible de savoir, mais de bien apprendre dans chacune d’elle ce qu’il n’est pas permis d’ignorer ». Commentez et tirer-en les implications pédagogiques

103) « L’homme est ressources la plus précieuse d’une nation. C’est en divertissant dans l’homme qu’elle peut espérer son redressement économique ». Qu’en pensez-vous ?

104) « Un des problèmes de l’éducation est de concilier sous une contrainte légitime, la soumission avec la faculté de se servir de sa liberté. Car la contrainte est nécessaire. Mais comment activé la liberté par la contrainte ? Il faut que j’accoutume mon élève à souffrir pour que sa liberté soit soumise à une contrainte, et qu’en même temps un bon usage... L’homme privé d’éducation ne sait pas se servir de sa liberté. » Emmanuel Kant. Commentez et tirez-en les implications pédagogiques.

105) « L’éducation ne se borne pas à l’enfant et à l’adolescence ; l’enseignement ne se limite pas à l’école. Toute la vie, notre milieu et notre éducation est un éducateur à la fois sévère et dangereux. »
Commentez et tirez-en les implications pédagogique.

106) « Notre avenir se mesure à l’aune de ce que nous ferons aujourd’hui pour notre jeunesse. » Commentez et tirez-en les implications pédagogiques.

107) Selon L. Evely, « toute éducation raisonnable doit commencer par un maximum de contrainte et un minimum de liberté pour terminer par un minimum de contrainte maximum de liberté. »
Commentez et tirez-en les implications pédagogique.

108) « Un enseignant performant, c’est une promotion d’élèves et d’étudiant réussie et prometteuse. Investir dans l’école c’est investir dans l’avenir. »Expliquez et Commentez cette réflexion.

109) Jean Jacques Rousseau a écrit à propos de l’éducation des enfants : « toute est bien en sortent des mains de l’auteur des choses, tout dégénère entre les mains de l’homme. A chaque instruction précoce qu’on veut faire entrer dans leur tête, on plante un vice au fond de leur cœur ». Commentez et tirez-en les implications pédagogique.

110) Montaigne a écrit : « Le gain de toute éducation est de rendre l’enfant meilleur et plus sage. Il faut qu’il sache vivre convenablement de son être et ne pas être dupe de ses rêves ».
Expliquez et Commentez cette réflexion.

111) Jean jacques Rousseau conseille : « nous naissons faibles, nous avons besoin de force ; nous naissons dépourvus de tout, nous avons besoin d’assistance, nous naissons stupides, nous avons besoin de jugement. Tout ce que nous n’avons pas besoin à notre naissance et dont nous avons besoin étant grands, nous est donné par l’éducation ».
Qu’en pensez-vous ?

112) Selon Corinne Le Page, « L’école contribue à la prospérité des sociétés, à l’élimination des discriminations de toutes sortes, à la défense de la paix et du bien commun, à la meilleure compréhension des peuples. » Commentez et tirez-en les implications pédagogiques.

113) « Le cloisonnement des disciplines est une gangrène à la formation intégrale de l’enfant. »
Dites ce que vous en savez et tirez-en les implications pédagogiques.

114) Jean Duchenne a écrit : « former un homme aujourd’hui devrait être le sauver du bruit et de la cohue. Jamais il n’a été plus nécessaire de développer sa puissance de choix et de lui apprendre à dire non. »
Commentez et tirez-en les implications pédagogiques.

115) « De toutes les facultés de l’homme, la raison, qui n’est pas ainsi dire qu’un composé de toutes les autres, est celle qui se développe le plus difficilement et le plus tard et c’est de celle-là qu’on veut se servir pour développer les premiers ». JEAN JACQUES ROUSSEAU. Commentez et tirez-en les implications pédagogiques

116) Les neuf dixièmes des hommes sont ce qu’ils sont bons ou méchants utilisable ou non par leur éducation. C’est l’éducation qui fait la différence entre les hommes. » John Locke. Dites ce que vous en pensez et tirez-en la conséquence pédagogiques

117) « Tout individu possède une originalité de principe. Il est seul à être lui. » Commentez et tirez-en les implications pédagogiques.

118) « Si l’œuf ne contient pas de chromosomes de quillier, aucune force extérieure n’en tirera un individu supérieur. Mais au rebours, l’hérédité la plus favorable peut manquer à se manifester si elle rencontre un milieu par trop contraire. » a écrit Jean Rostand. Commentez et tirez-en les implications pédagogiques

119) « Entre les virtualités indécises qui constituent l’homme au moment où il vient de naitre et le personnage très défini qu’il doit devenir…, la distance est considérable. C’est cette distance que l’éducation doit faire parcourir à l’enfant. » Emile Durkheim
Commentez et tirez-en les implications pédagogiques.

120) « Il ne peut y avoir de transformation significative ou durable les sociétés, et aucune réduction de pauvreté substantielle, tant que les filles ne recevront pas l’éducation de qualité dont elles ont besoin pour prendre la place à laquelle elles ont droit en tant que partenaires égales dans le développement ».
Expliquez et commentez cette réflexion en partant du contexte Burkinabé.

121) « C’est par l’éducation qu’on façonne l’homme de l’enfant à la vieillesse ; et ce qui distingue l’homme de l’enfant, c’est que l’homme ne peut devenir l’homme que par l’éducation ». Emmanuel Kant.
Expliquez et commentez cette réflexion.

122) « Il est légitime d’avoir des enfants pour autant que ceux-ci peuvent avoir en vous des parents ». Olivier Reboul. Qu’en pensez-vous ?

123) « Il faut penser à la nécessité d’une réduction de l’effet de mythe égalitaire de l’école car tout individu est une personne à part entière ».
Expliquez et commentez cette réflexion de Ronald Fresnes.

124) « Avant-hier l’école courait vers la communauté ; hier, la communauté courait vers l’école. Aujourd’hui, école et communauté se regardent en chien de faïence. La communauté boude l’école tout en la réclamant. » Commentez cette réflexion en partant du contexte Burkinabé.

125) « Qui se tient pour le maître d’autrui est lui-même un esclave. Seul est libre qui veut libérer tout ce qui lui entoure. » Commentez ces propos de Feecht. Peuvent-ils vous servir dans votre pratique de la classe ?

126) SELON LA CONFEMEN, « l’école de base ne sera crédible que si les savoirs, savoir-faire et savoir être qu’elle permet d’acquérir sont utiles et ont du sens pour les élèves, pour les parents d’élèves et pour la communauté. » Après avoir commenté cette vision de l’école exprimée par la CONFEMEN, indiquez les applications pédagogiques qui en découlent pour une formation complète du futur citoyen burkinabé. IP 2009.

127) « Tandis que tout le monde admirait le progrès de mes idiots, a-t-elle écrit, je méditais sur les raisons qui pourraient retenir les élèves heureux et sains des écoles ordinaires à un niveau si bas qu’ils puissent être rattrapés dans les épreuves intellectuelles par nos élèves défaillants. » En vous référant sur les propos de Maria Montessori, donnez la place de l’éducation inclusive dans le système scolaire burkinabé. IEPD 2009.

128) « L’apprentissage des disciplines doit donner une priorité au pouvoir par rapport au savoir. » Commentez cette pensée d’un pédagogue contemporain. Quelles implications pédagogiques peut-on en tirer ?

129) « Un maître ne doit pas être un grand prêtre dans un temple mais un chef de laboratoire. » Expliquez et appréciez ce propos d’un pédagogue.

130) Le président Julius Nyerere perçoit l’école non pas comme un moyen d’échapper à la pauvreté mais de la combattre.
Expliquez cette conception et dites comment vous concevez l’école.

131) Un pédagogue écrit : « On ne peut parler d’éducation encore moins d’en faire sans interrogation préalable sur ses fins. » Qu’en pensez-vous ?

132) « La valeur pédagogique de l’éducation est très discutable. Tout particulièrement, la formation morale se trouve compromise par cet utilitarisme étriqué. » Discutez ce jugement. IEPD.2010.

133) Selon un pédagogue : « dans le milieu de l’éducation, la nouvelle compréhension de la dynamique de l’apprentissage a donné lieu à l’avènement d’un paradigme inédit, le paradigme de l’apprentissage qui se situe en opposition par rapport au paradigme dominant dans les écoles actuelles, le paradigme d’enseignement. »
Expliquez les deux paradigmes. Pensez-vous aussi qu’il existe une relation d’opposition entre les deux ? Justifiez votre point de vue à partir d’exemples pris dans le système éducatif burkinabé. CAPES 2010.

134) Selon Auguste Comte, « l’efficacité de tout système éducatif repose sur une vraie doctrine philosophique qui en détermine la nature et la destination. » Qu’en pensez-vous ? CPI 2010.

135) « Les sentiments ne se forcent pas. Dans ce domaine, on ne peut que conseiller l’éduqué, lui suggérer les choses afin de l’amener à comprendre, adhérer et agir. »
Commentez et tirez-en des implications pédagogiques.

136) « L’élève ne sera pas traité comme un objet que l’on forme et transforme mais comme une conscience libre qui se forme et se transforme. » Commentez et tirez-en les implications pédagogiques.

137) « L’éducation demeure l’une des principales étapes de l’enseignement-apprentissage. Cependant, qu’elle soit normative ou critériée, son efficacité repose sur la pratique-classe. »
Expliquez ce propos en vous appuyant sur l’évaluation critériée. IP.2010.

138) Laura Raney « L’éducation des filles est un investissement critique pour réduire la pauvreté ; et l’avenir des générations des femmes repose sur l’éducation des filles. » Commentez et tirez-en les implications pédagogiques en partant du contexte burkinabé.

139) « L’enfant doit bénéficier une éducation qui contribue à sa culture générale et permette dans les conditions d’égalité de chances, de développer ses facultés, son jugement personnel et son sens des responsabilités morales et sociales et de devenir un membre utile de la société. » Commentez et tirez-en les implications pédagogiques en partant du contexte burkinabé.

140) « Il y a longtemps que je suis las entendre dire que l’un est intelligent et l’autre non. Chacun est juste intelligent qu’il veut… Le langage aurait pu m’en instruire assez, sar imbécile veut exactement dire faible volonté, et j’aimerai mieux dire travail, voilà ce qui manque. » Expliquez et commentez ces propos d’Alain et tirez-en des implications pédagogiques.

141) « Un acte qui n’est pas relié directement ou indirectement à un besoin est une chose contre nature ». Commentez ces propos de Claparède et tirez-en des implications pédagogiques.

142) Jean Jacques Rousseau a écrit : « tout est bien en en sortant des mains de l’auteur des choses, tout dégénère entre les mains de l’homme. A chaque instruction précoce qu’on veut faire entrer dans leur tête, on plante un vice au fond de leur cœur ». Qu’en pensez-vous ?

143) « Rappelle-toi que ton fils n’est pas ton fils, mais le fils de son temps ». Appréciez cette pensée dans la perspective de la réforme de l’éducation dans notre pays.

144) Appréciez cette définition que René Hubert donne de l’éducation : « Eduquer, c’est adapter l’enfant au milieu social adulte, c’est-à-dire transformer la constitution psychologique de l’individu en fonction de l’ensemble des réalités collectives auxquelles la conscience commune attribue une valeur ».

145) « L’école ne doit pas être une machine à fabriquer des modelés réduits du maître car l’adulte épanoui et libre, ne peut résulter de la maturation d’une personnalité enfantine mutilée ». Commentez ces propos de Claparède et tirez-en des implications pédagogiques.

146) Commentez ces propos de M.A. Touyarat et tirez-en des implications pédagogiques. « Notre principal souci est de rendre possible l’éducation car les enfants eux-mêmes de leurs savoirs ; ce qui exige de choisir avec soin et de suivre avec attention les expériences qui en seront les sources concrètes, variées et répétées ».

147) « Le maître doit moins parler, moins agir lui-même ou plutôt agir autrement, car c’est en posant des problèmes ou mieux encore en aidant les enfants à les poser qu’on a la chance de mobiliser leurs forces et de leur fournir l’occasion non d’un simple dressage ou remplissage, mais d’un exercice authentique ».
Appréciez ces propos et dites qu’elle doit être l’attitude du maître face aux innovations pédagogiques en cours dans notre pays.

148) Un pédagogue contemporain a écrit : « Je dis qu’il n’y a pas de pédagogie mais des pédagogues et des enfants ; et que l’action des pédagogues ne peut s’exercer sur les enfants. Que si la méthode employée est conforme à la fois au tempérament du maître et à celui des élèves. » Qu’en pensez-vous ?

149) « Celui qui, sans philosophie veut s’occuper d’éducation, s’imagine facilement avoir accompli des reformes d’importance alors qu’il n’a fait que corriger un peu la façon de faire. Nulle part une perspective philosophique appuyée sur des idées générales, n’est aussi nécessaire. » Commentez ces propos de Herbart et tirez-en des implications pédagogiques.

150) « il faut et il est temps, que le maître sache faire un usage nouveau de ses connaissances qui, au lieu d’être des objets à transmettre, doivent devenir des instruments d’aide et de guide. »
Commentez ces propos d’un pédagogue contemporain et tirez-en des implications pédagogiques.

151) Emmanuel Kant a écrit : « Ce n’est pas en fonction de l’état actuel, mais en fonction d’un état futur, le meilleur possible de l’espèce humaine que l’on doit éduquer. » Qu’en pensez-vous ?

152) « L’éducation doit former des hommes et pas seulement des cerveaux ; c’est-à-dire s’attacher à développer non seulement les connaissances, mais surtout des aptitudes à s’ouvrir plus largement sur le monde. » Appréciez cette pensée dans la perspective de la réforme de l’éducation dans notre pays.

153) Selon Olivier Grignon, « on n’éduque moins par ce que l’on sait qu’avec ce que l’on est. » Appréciez et tirez-en les implications pour la pratique-classe.

154) Amadou Hampâté Bâ : « quand il s’agit de formation pour demain, il faut bien s’assurer qu’il s’agit de notre demain à nous. Nul ne saurait par une sorte de bond paranoïaque passer par-dessus nos réalités, rejoindre par des phantasmes l’avenir des autres. »
Appréciez cette pensée dans la perspective de la réforme de l’éducation dans notre pays.

155) A propos de finalités de l’éducation, un pédagogue écrit : « un second objectif de l’acte pédagogique, plus ou moins toujours présent, explicitement ou implicitement, dans beaucoup d’actes pédagogiques est la transformation des structures psychologiques existantes ou l’aide à apporter à des structures existantes. »
Appréciez et tirez-en des applications pour la pratique-classe.

156) Jean Jaurès : « on n’enseigne pas ce que l’on veut, je dirai même qu’on n’enseigne pas ce que l’on sait ou ce que l’on croit savoir ; on n’enseigne et on peut enseigner que ce que l’on est. »
Appréciez et tirez-en des applications pour la pratique-classe.

157) A. Sow Fall : « Les enfants ont souvent des dispositions que les parents ne cherchent pas à comprendre … Les enfants ont leur propre sensibilité, qui est diffèrent de celle des parents ! Au lieu de refouler un penchant qui n’a rien d’incompatible avec la morale, l’on devrait l’aider à mieux s’exprimer. »
Appréciez et tirez-en des applications pour la pratique-classe.

158) Commentez ces propos de Kakou Oklomin et tirez-en des implications pédagogiques. « Un enfant n’est pas un robot, mais un être à part entière, un futur adulte qu’il faut par conséquent préparer à affronter la vie.

159) « Dans la relation d’aide on risque la dépendance. Dans la relation d’aide il faut savoir se retirer. Aussi, faut-il varier nos modes d’apprentissage ? c’est la différenciation pédagogique. »
Commentez ces pensées pédagogiques.

160) « Démocratiser le système éducatif au Burkina Faso est un impératif. » Quels sont selon vous les atouts principaux et les obstacles à cette démocratisation ?



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